fbpx
Follow Us On

Ólöf Ingólfsdóttir x Sarah Hopfinger

Soirée double avec Ólöf Ingólfsdóttir et Sarah Hopfinger
Où vivons-nous? D'où venons-nous? Où allons-nous? Avez-vous conscience de votre quotidien? De vos habitudes? Avez-vous remarqué à quel point nous sommes éloignés de la nature? Voyez-vous la joie autour de vous? En ressentez-vous encore ? Avez-vous oublié? Êtes-vous réellement conscient.e?
RESET² est construit sur la relation qui unit des partenaires, les membres d’une équipe, des compagnons de voyage qui évoluent côte-à-côte. Défi sportif autant qu’artistique, la chorégraphie présente des corps qui semblent sur le point de flancher, mais qui demeurent dans une maîtrise totale.
En pièce jointe est une ode à ceux qui ne rentrent pas dans la norme, qui sont mis de côté, délaissés comme les invendus du supermarché qui n’ont pas réussi à séduire la clientèle! La pièce tente de déconstruire le réel, l'irréel et les pensées de l’absurde, et transporte le public vers un univers à...
“The Man Who Travelled Nowhere in Time” est une œuvre qui s'articule autour d'un jeune homme nommé Eytan. Eytan voit le monde autour de lui changer, évoluer et grandir, mais lui-même ne change jamais. Son voyage est une quête pour comprendre pourquoi il ne vieillit pas et ne meurt pas comme les gens qui l'entourent.
Passant tout au long de la pièce de musicienne à danseuse, Leah dépeint le sentiment d'être coincé, d'un point de vue extérieur, d'où il est toujours plus facile d'entrevoir comment échapper à des situations et de comprendre qu'être piégé est, plus souvent qu'on ne le pense, une interprétation de l'esprit.
Sous la direction chorégraphique de Karine Ponties, SAME SAME explore les frontières de l'humour subtil, de l'ironie et de l'absurde. Dans un monde où la raison est une belle façade, l'irruption du non-sens nous confronte à notre rapport à la normalité et nous permet de nous ouvrir à des chemins inexplorés.
Fête sauvage est une pièce créée par Hélène Blackburn sous l’invitation des Grands Ballets Canadiens de Montréal, en temps de rencontres rares et fortuites marquées par la pandémie.
Dea s’inspire de la pièce Nostra Dea (Notre Déesse) du dramaturge Massimo Bontempelli, dans laquelle le héros vit sans mémoire. De multiples identités, traits et apparences s’imposent et se rencontrent sur cette page blanche constamment renouvelée.
Embrasement synaptique s'inspire des neurones du corps humain dans leur processus de transmission d’information sensorielle. Le chorégraphe Zachary Bastille y incarne la nature électrique, imprévisible et impulsive de l’influx nerveux ainsi que son rôle dans l’exécution de nos actions et réactions les plus instinctives.
1 2 3 4 5