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Le Festival Quartiers Danses dévoile la programmation en salles de sa 20e édition

Communiqué de presse

Annonce de la programmation en salles de la 20e édition du Festival Quartiers Danses (FQD)

Montréal, le 29 juin 2022 – Pour sa 20e édition, le Festival Quartiers Danses (FQD) se  tiendra du 7 au 18 septembre 2022 et fera, pour une 4e année consécutive, la part belle  aux écritures chorégraphiques féminines en réunissant 30 femmes sur les 47  chorégraphes nationaux.ales et internationaux.ales invité.e.s. La programmation du  volet extérieur gratuit du festival sera dévoilée au courant du mois d’août mais déjà, voici  les 20 spectacles en salles attendus durant le festival:

Calendrier des spectacles 

Billetterie 

Extraits vidéo des spectacles 

Dossier de presse 

 

JEUDI 8 SEPTEMBRE – Soirée d’ouverture 

THÉÂTRE MAISONNEUVE DE LA PLACE DES ARTS 

20H 

LA PASTORALE – Malandain Ballet Biarritz 

Crédit photo : Olivier Houeix 

Le Malandain Ballet Biarritz vous présente La Pastorale, la 6ième Symphonie de Ludwig van  Beethoven. « La Symphonie Pastorale, ou Souvenir de la vie rustique, est plus une émotion  exprimée qu’une peinture descriptive. » Traduisant l’amour ardent de ce compositeur pour la  nature, cette œuvre met en scène 22 interprètes qui dansent l’innocence et la tranquillité de  la Grèce antique. Empreinte de sérénité et entièrement idéaliste, La Pastorale invoque  l’antiquité hellénique, un lieu de nostalgie et de perfection artistique, de la douleur d’un désir  sans fin à la béatitude de la lumière originelle. 

Billets à 20$ pour les 20 ans du festival

VENDREDI 9 SEPTEMBRE 

STUDIO THÉÂTRE DES GRANDS BALLETS CANADIENS / ÉDIFICE WILDER 20H 

TEMPUS FUGIT, Cie Toula Limnaios 

Dans Tempus Fugit, la compagnie Toula Limnaios reste sur la piste du temps, vers la  recherche du bonheur de l’Homme que Nietzsche voyait comme un état n’ayant ni passé ni  futur. Sur scène, sept danseurs se déplacent continuellement en groupe, comme une unité  fluide, où ils produisent l’effet d’une marée qui englobe tout. Une danse ronde comme un seul  mouvement partagé révélant par moments l’individu. 

SAMEDI 10 SEPTEMBRE 

STUDIO – THÉÂTRE DES GRANDS BALLET CANADIENS / ÉDIFICE WILDER 19H 

RESET Véronique Giasson 

C’est par des allers-retours incessants que le duo RESET, interprété par Véronique Giasson  et Laurent Le Gall, teste les limites physiques du corps tout en lui imposant une stricte  exactitude des mouvements. Sur la musique de LACRYMOBOY (Aix-en-Provence, France),  cette pièce met en lumière les possibilités infinies d’une trajectoire d’un point A à un point B.  Chaque départ, plus complexe que le précédent, est bâti sur le chemin déjà parcouru, sur le  passif vécu de ces deux corps qui recommencent leur périple, encore et toujours.

NOCTURNES Malandain Ballet Biarritz 

Le Malandain Ballet Biarritz présente Nocturnes, une interprétation de l’accablant chagrin que  peut causer l’amour, au travers des danses funèbres de la fin du Moyen Âge. Sur Les  Nocturnes, 21 pièces composées par Frédéric Chopin entre 1827 et 1846, cette œuvre dépeint  le passage du temps et la mort comme réunion fraternelle entre les individus de tous rangs,  allant ainsi au-delà de l’association entre la vie et la mort. Par cette fresque d’une éternelle  mélancolie, Nocturnes s’inspire du romantisme noir de Chopin, mais aussi des danses  macabres du Moyen Âge. 

SAMEDI 10 SEPTEMBRE 

STUDIO – THÉÂTRE DES GRANDS BALLET CANADIENS / ÉDIFICE WILDER 21H 

RESET Véronique Giasson 

MOZART À DEUX Malandain Ballet Biarritz 

Extrait du spectacle Bal Solitude, faisant d’ailleurs partie du répertoire du Leipzig Ballet  (Allemagne) et du Wiener Staatsballett (Autriche), le Malandain Ballet Biarritz présente le pas  de deux Mozart à 2. Dans le contexte d’un bal, de ses festivités et de ses aventures  amoureuses, ce duo révèle la solitude vécue lorsque l’amour ne rime pas avec  célébration. Mozart à 2 est la mise en scène du sentiment de manque lorsque la réciprocité  amoureuse n’est pas au rendez-vous, le tout dansé sur des concertos pour piano de Mozart. 

DIMANCHE 11 SEPTEMBRE 

STUDIO – THÉÂTRE DES GRANDS BALLET CANADIENS / ÉDIFICE WILDER 16H 

Untitled I + III Andrea Peña 

Crédit photo : Bobby Leon 

Untitled I + III explore la vulnérabilité humaine comme une force de résilience. Le corps et  l’individu s’abandonnent et se transforment à travers la répétition chorégraphique. Les  interprètes, dénudés et dépouillés comme la scène qu’ils habitent, s’engagent avec vigueur  dans des phases de mouvement en constante évolution. Par la vulnérabilité vers laquelle trois  hommes s’abandonnent, l’œuvre va au-delà de la performance pour dévoiler une  transformation progressive de la résilience, autant pour le public que pour les  interprètes. Untitled I + III est une libération de l’espace et du temps mettant de l’avant  l’expérience et une humanité entretenue avec soin.

LUNDI 12 SEPTEMBRE 

STUDIO-THÉÂTRE DES GRANDS BALLETS CANADIENS / ÉDIFICE WILDER 20H 

VOLTO UMANO Cie Toula Limnaios 

Crédit photo : Dieter Hartwig 

Volto Umano, par l’infiltration de la violence dans la micro-société des interprètes, révèle la  faiblesse et l’instabilité de la nature humaine. La pièce oscille entre les « petits méfaits » de la  société, faisant émerger l’impitoyable. Elle incarne à quel point la couverture de la civilisation  est mince lorsque l’éthique et la morale sont victimes de la barbarie. Révélant l’orgueil de l’être  humain, tout peut se renverser d’un instant à l’autre et basculer dans la calamité. Quand la  violence s’immisce dans nos vies, quel visage en sortira?

MARDI 13 SEPTEMBRE 

STUDIO – THÉÂTRE DES GRANDS BALLETS CANADIENS / ÉDIFICE WILDER 20H 

GEYSERS – Samuel Tétreault / Les 7 Doigts de la main 

Cette pièce pour un danseur-équilibriste explore, au-delà de la virtuosité acrobatique, une  démarche introspective et une réflexion sur la nature même de la notion d’équilibre. Dans un  huis clos imaginaire au cœur du fouillis de notre inconscient individuel et collectif, ce solo  questionne nos besoins de contrôle et de stabilité et nos désirs d’abandon et de liberté. 

ODALISCA Louise Bédard 

Le solo Odalisca est inspiré par les poses langoureuses de femmes peintes par Ingres et  Delacroix. La chorégraphie cherche à révéler la sensualité qui se dégage du corps masculin  dansant. Elle se déploie sur une musique de John Cage, Eight Whiskus, dont une version  remixée par Sutja Guitterez avec la voix de Joan La Barbara, et une autre confiée au violon  avec Aisha Orazbayeva. L’ensemble de la chorégraphie est constitué de multiples couches  visuelles et musicales et convoque des sensibilités impulsives. 

SOLILOQUY Charles Brecard 

Le soliloque est un discours pour soi, celui d’une personne qui se parle à voix haute.  Dans SOLILOQUY, l’interprète voyage à travers les méandres de ses pensées, se poussant 

à faire face à ses émotions, ses questionnements et ses angoisses. L’accompagnant dans  son introspection, un squelette symbolisant les vestiges de l’humanité partage la scène. Une  puissante valse entre l’homme et la carcasse s’ensuit, enchaînant confessions, accusations  et partage. Le solo agit comme une déclaration et un voyage face à nos pertes, nos regrets,  nos colères et nos déflagrations. 

MERCREDI 14 SEPTEMBRE 

STUDIO-THÉÂTRE DES GRANDS BALLETS CANADIENS / ÉDIFICE WILDER 20H 

L’ENFER D’UN MONDE Nicolas Zemmour 

L’enfer d’un monde est une œuvre chorégraphique qui se veut empreinte d’humanité́.  S’inspirant des violences conjugales, qui se sont accrues avec le confinement au début de la  pandémie, la création explore les profondeurs de la violence humaine et l’espoir de la  renaissance avec le dépassement pour s’en sortir. 

THE SMILE CLUB Kyra Jean Green 

La chorégraphie, le scénario et le film à venir The Smile Club s’inspirent de pratiques  psychiatriques présumées à Budapest, en Hongrie, pendant la Grande Dépression. Au  lendemain de la Première Guerre mondiale, la ville a acquis la réputation d’être la « ville des  suicides ». Une école a été ouverte avec un objectif simple : apprendre à la population à sourire,  l’idée étant que cela déclencherait une plus grande production de sérotonine et permettrait de  guérir une ville appauvrie, collectivement traumatisée par la guerre, de l’envie généralisée de  mettre fin à ses jours. 

FORGOTTEN FEELINGS Kyra Jean Green 

Cette œuvre de Kyra Jean Green explore ce que peut être l’oubli des émotions et des  sensations physiques. Le personnage principal souffre d’une combinaison d’alexithymie,  l’incapacité à identifier et décrire les émotions ressenties par soi-même, et l’anaphie,  l’incapacité de ressentir le toucher. . Elle se retrouve ainsi dans un monde où tout est engourdi.  La soliste se remémore ce qu’était toucher et éprouver des émotions, mais sa mémoire lui fait  défaut. Cette performance intime est un regard sur le monde privé d’un individu qui veut  désespérément ressentir à nouveau.

JEUDI 15 SEPTEMBRE 

STUDIO- THÉÂTRE DES GRANDS BALLETS CANADIENS / ÉDIFICE WILDER 20H 

LA MARÉE DES SAISONS Margie Gillis 

« Nous sommes tous Nature. » – Margie Gillis 

Crédit photo : Melika Dez 

Dans cette nouvelle œuvre, vive et malicieuse à la fois, mais aussi toute en légèreté, la  chorégraphe Margie Gillis rend hommage à la nature. Un cri du cœur pour son Québec natal  où chaque saison se déploie avec fougue, toutes plus éclatantes les unes que les autres. Si la Belle-Province résonne dans cette œuvre, c’est également à Hawaii que la chorégraphe a  puisé son inspiration. 

 
 
VENDREDI 16 SEPTEMBRE 

STUDIO-THÉÂTRE DES GRANDS BALLETS CANADIENS / ÉDIFICE WILDER 20H 

BUNKER + VAULT Rebecca Margolick 

Bunker + Vault se penche sur la résilience, sur la force et sur la pression incessante exercée  sur le corps féminin au fil des générations, mais aussi sur l’expérience de la chorégraphe en  la matière. Cette pièce s’inspire des recherches d’archives, effectuées par Rebecca Margolick,  sur les femmes résidant au foyer Clara de Hirsch pour jeunes filles ouvrières de 1899 à 1950  à New York. 

SOUFFLE – Jane Mappin 

2022, des réflexions sur un monde en mutation ; une célébration de la force et de la résilience  de l’humanité, et du pouvoir de l’espoir.

VENDREDI 16 SEPTEMBRE 

SALLE BOURGIE DU MUSÉE DES BEAUX-ARTS DE MONTRÉAL 

20H 

FOCUS DANSE BACH Focus Cia de Dança 

FOCUS DANSE BACH est une ode au merveilleux Jean-Sébastien Bach, l’un des  compositeurs classiques les plus connus dans le monde. Musiciens et danseurs se partagent  la scène, autour de trois pièces distinctes. In-finito joue avec le chiffre 8, symbole de l’infini,  un mouvement qui ne finit jamais. Avec Prólogo 1, 2,3,4/ Interpret sur les cinq mouvements  de la Partita pour violon seul nº 2, tous les danseurs envahissent la scène créant un sentiment  d’accumulation tout en ouvrant de nouveaux espaces. Et finalement Um a um propose une  séquence de duos connectés, qui dévoile tout le potentiel de combinaisons possibles à réaliser  avec deux corps. 

SAMEDI 17 SEPTEMBRE 

STUDIO – THÉÂTRE DES GRANDS BALLETS CANADIENS / ÉDIFICE WILDER – SOIRÉE DE CLÔTURE 

20H 

CARLOTA – Focus Cia de Dança 

Dans cette création, en s’inspirant du tango, Alex Neoral se questionne sur la façon dont nous  transformons notre tristesse en passion, voire en sensualité. Carlota est l’expression de nos  émotions en mouvement. Explorant l’aspect inexplicable, intrinsèque et dissimulé de l’humain,  cette création se penche sur l’évolution de nos humeurs à travers le fil du temps et des saisons.  Bonheur, tristesse, angoisse et passion … le tout en mouvement. 

DIMANCHE 18 SEPTEMBRE 

STUDIO-THÉÂTRE DES GRANDS BALLETS CANADIENS / ÉDIFICE WILDER 14H 

I KNOW YOU BUT I DON’T KNOW YOU Cai Glover 

I know you but I don’t know you est la représentation du témoin d’une relation distante entre  deux frères et sœurs qui, à cause de la distance, de l’espace et de la solitude, ont vu leur  relation exacerbée par la façon dont la vie peut nous entraîner involontairement dans des  directions que nous n’avons pas choisies. Le témoin, troisième danseur, joue le rôle de  l’existence partagée de la vie. Le chorégraphe travaille avec l’ASL (American Sign Language)  pour développer et découvrir la complexité émotionnelle du vocabulaire de la danse. En tant  que chorégraphe malentendant, il s’intéresse à provoquer une expression qui, comme la  danse, recherche le langage pur. Par l’utilisation de mots et de textes littéraux, Cai Glover  désire s’élever au-delà de ceux-ci, présentant ainsi une chorégraphie expressive, rapide et  chargée en émotions. 

MMXX Pauline Gervais 

Dans une dimension altérée par la technologie, quatre protagonistes s’évertuent à développer  de nouveaux repères. Ensemble ils.elles tentent d’établir une connexion de leur propre matrice 

à celle de l’autre en quête d’une identité partagée. Jadis femmes et hommes, ces individus  cohabitent maintenant en tant que peuple sur ce territoire aux frontières virtuelles. 

DIRT Elon Höglund 

Elon Höglund part de l’idée que nous somme né.e.s de la terre et que nous y retournerons.  Cette œuvre est une enquête sur les cycles de la vie et de la mort. 

 

À propos du FQD 

Vingt ans de représentations en salles comme à ciel ouvert en contexte urbain, de projections de  films et de courts-métrages, de tables rondes sur des sujets actuels de la danse et d’ateliers de  médiation culturelle. Vingt ans que Le Festival Quartiers Danses (FQD) a pour mission de  démocratiser la danse contemporaine sous toutes ses formes et hybridités en la rendant inclusive  et accessible à tous les publics dans des lieux tant traditionnels qu’inusités. À ce jour, le FQD, ce  n’est pas moins de 1 781 artistes, 438 oeuvres chorégraphiques, 135 films et courts-métrages sur  la danse, 26 expositions d’art visuel et de photographie sur la danse, 70 conférences-rencontres  avec les publics, mais aussi, depuis 2013, plus de 1000 ateliers de médiation culturelle et cela,  durant toute l’année. 

 

Contact Médias 

Barbara Philip 

Marelle Communications 

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514-806-3673